Anna SZIGETHY

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JOURNAL INTIME

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dimanche, mars 13 2022

Hétérotypes - finalistes du prix Catalyseur


Exposition collective, GICA - Godot Center of Contemporary Art, Budapest, 24.03. - 10.04.2022.
Home, sweet home installation, série de photographies,2018, 90x120 cm et sacs en papier imprimées, 2022, 60x70x30 cm, Coïncidences aléatoires - déclenchement de l'incertitude, photographie d'un risographe, 2021, 138x200 cm



Différents détails du même appartement peuvent être vus sur les grandes impressions sur les murs et à côté sur les sacs de voyage de taille inhabituelle. Les images représentent les détails "superflus", insignifiants, d'un appartement aujourd'hui sensiblement vide, mais qui conserve des souvenirs. Les objets, des sacs en papier placés au milieu de l'espace, symbolisent d'une part le déménagement, l'abandon d'un espace physique concret ; d'autre part, l'accumulation de souvenirs. J'ai imprimé des détails en gros plan (parquet, mur, sol de la cuisine) sur les sacs de voyage : ces fragments accentués sont une sorte d'expression des expériences et des sentiments que nous emportons avec nous d'un lieu important, mais qui ne sont pas nécessairement des souvenirs matériels.



vendredi, avril 1 2011

La chambre à Nice - et les autres endroits importantes

                     

Mehr Licht vue de l'exposition, Maison d'Atelier GlogauAir, Berlin, 2011    diaprojection, meuble en carton: 45 x 42 x 80cm

Ce projet s’occupe avec les images de souvenir, les on garde dans sa mémoire. Pendant mes voyages des dernières années, j’ai “collecté” beaucoup des images, des souvenirs très fort des différents espaces, situations, des gens, environs etc. ou j’ai vécu du temps. J'ai des souvenirs dans ma tête et aussi ils existent dans la réalité, puisque j'ai fait une grande série des diapos de chacune des espaces. Ces sont les images des meubles, des coins préférées ou la vue d'une fenêtre des différents espaces.

Notre cerveau fonctionne très malin: comment le temps passe, les images mélangent: enfin on ne peut plus faire la différence entre les images des plusieurs lieux. Je pourrais dire, que ces images “se glissent”. Comme ça il se crée un monde imaginé qui n'a jamais existé, ce que garde seulement notre tête, mais ca n’est plus la réalité. Nous créons des lieux, espace nouvelle, jamais existé. J’ai concrétisé dans une forme directe: j’ai imaginé un appartement, une chambre, quelque part ce que j’installe avec les objets des autres espaces. J’ai imaginé une diaprojection, ou j’ai projeté des diapos avec les objets sur cette nouvelle espace dans le présent. Comme ça à la fois je peux projeter une vue de la fenêtre de Nice ou mon fauteuil préféré de Budapest à Paris, en mélangent les images et lieux. 

 

 
A nizzai szoba vue de l'exposition, Galerie En Cours, Paris, 2003
diaprojection avec les vues des appartements différents à Nice, Budapest, Paris ou à Marseille


Open Studios Montreuil, Paris (avec Stéphane Cévran)
Magyart saison hongroise en France
, 2001
2 diaprojections avec les images de Budapest dans un atelier  à Paris-Montreuil



jeudi, septembre 30 2010

calendirer: venise







mercredi, juillet 28 2010

le chateau



Le château 2010, photo couleurs, 30 x 90 cm
Série de photo dans le château de Szigliget, petite village en Ouest-Hongrie, aujourd'hui transformé a Maison de la création pour les artistes hongroises.


mercredi, juin 30 2010

mon jardin secret





été 2010, Budapest
, photos sur mobiles, 13 x 18 cm



dimanche, décembre 13 2009

berlin calendrier



Berlin calendrier
, novembre-décembre 2009
a partir de la série photo Berlin, en chemin, 2009



samedi, octobre 4 2008

journal intime







jeudi, le 13
série photo, 50 x 160 cm, 2008


Stratégies sur équilibre vue de l'exposition, Galerie Studio, Budapest, 2008
jeudi, le 13 série photo 50x160 et 35x80 cm, 5 sacs de voyage avec les installations sonores






journal intime / 1.
série photo, les mesures différents: 40 x 60, 50 x 70 cm, 2006 - 2008

journal intime, vue de l'exposition, Galerie Lumen Budapest 2006